La prochaine fois que quelqu’un s’énervera proche de vous - ou qu’il pleure, crie, casse quelque chose, ou s’emporte - regardez à quelle vitesse cette déclaration va le recadrer: J’espère que « son action » t’aide à aller mieux ».
Exemple: J’espère que casser un verre t’aide à aller mieux.
Parce qu’évidemment, cela n’aide pas à aller mieux.
Parce qu’uniquement dans le bouillonnement de l’extrême émotion, de tels comportements peuvent être justifiés.
Mais lorsque nous sommes appelés à considérer ceux-ci, nous nous sentons habituellement embarrassés ou honteux.
Il est intéressant d’appliquer ce standard à vous-même. La prochaine fois que vous attrapez en plein milieu d’une tourmente émotionnelle, ou que vous vous lamentez… ou que vous pleurez tellement vous regrettez… demandez-vous: est-ce que cela m’aide vraiment à mieux me sentir?
Est-ce que cela me soulage des symptômes que je souhaite voir disparaître?