Ne vous tournez pas vers la philosophie tel un réalisateur de tâche, mais comme un patient recherchant un soulagement pour ses yeux douloureux, ou un pansement pour une brûlure - Marc Aurèle
Plus nous travaillons et apprenons, plus nous lisons et plus nous pouvons dériver. Nous entrons dans un rythme. Nous faisons de l’argent, nous sommes créatifs et nous sommes stimulés et occupés.
Tout semble bien aller. Mais nous dérivons encore et encore de la philosophie.
Éventuellement, cette négligence va contribuer à d’autres problèmes - le stress augmente, notre esprit se trouble, nous oublions ce qui est important - et nous nous blessons (d’une certaine manière).
Quand cela arrive, c’est important de freiner - mettre de côté tout le momentum et le moment présent.
Puis il faut revenir aux pratiques que nous connaissons pour enraciner la clarté, le bon jugement, les bons principes et la bonne croissance.
Le stoïcisme est désigné pour être la médecine de l’âme. Cela soulage les vulnérabilités de la vie moderne et de l’humain. Cela restaure en nous la vigueur nécessaire pour prospérer.